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Avec le HD FLSTSB Crossbones aux 105th Harley-Davidson Anniversary en Barcelona


AVEC DES JAMBES CROISES EN BARCELONE

C’était prévu que j’aurais déjà roulé avec la nouvelle HD Crossbones il y a quelques mois mais quand la moto était livré au dealer le transporteur avait que oublié une chose... La clé...
Mais pas de soucis, un mois plus tard, j’ai de nouveau reçu un Crossbones, avec clé cette fois ci, et comme petite extra je pouvait rouler avec jusqu’en Barcelone pour participer au fêtes pour le 105 ieme anniversaire de la marque... Je dois encore envoyer des fleurs aux transporteur... Ce n’était pas la premiere fois que j’ai roulé en Harley-Davidson a Barcelone.. Il y a 5 ans je l’ai fait en Road King pour participer aux centenaire de Harley dans la même ville...
Jusqu’a présent c’était le voyage moto la plus jolie que j’ai jamais fait même si j’étais tout seule.. car c’était pour la premiere fois que je roulais assez calme pour régaler le paysage...
En plus, c’était un trajectoire géniale...
d’aller en Barcelone que par des petites routes et en maximum en route nationale...
Quand les gens de Harley-Davidson me racontaient qu’il y a avait encore 8 autres motos qui allait en Barcelone et qu’ils cherchaient encore un roadbook interessante, le deal était vite fait.
Moi, je leur montrerais le chemin et en même temps je pourrais bien essayer la Crossbones...
Je dois avouer que, le premiere instant, j’étais pas vraiment convaincu que c’était une bonne idée de rouler a Barcelone sur le Crossbones... Ce qui est quand même un voyage de 1.640 km... Quand tu vois la Crossbones pour la premiere fois tu te demande de quelle année historique il date...

‘Quelle moto génialement restauré vous avez la bas’.. serai un commentaire que j’entendrais plusieurs fois sur ma voyage au Sud... Et en effet, la Crossbones a l’aire fort agé.
Avec sa fourche Springer, son selle sur des ressorts, les pose pieds en planche en forme croissant, la couverture du reservoir en cuire, les echappements tout droits, les gantes noirs en le guidon ‘Apehanger’ c’est du nostalgie en deux roues... Et même si je sais bien apprecier a regarder des moto’s comme ça, je me voyais pas vraiment rouler 5.000 virages avec, direction Barcelona...
Mais, si tu me demande, la Crossbones est la surprise de l’année et ça commence déjà avec la position de conduite...
Ettonnament le guidon ‘Apehanger’ me convient parfaitement et en combinaison avec la selle de ressorts t’es mieux sur un Crossbones que sur un FatBay ou un HD Rocker C... Je préfère même la siege du Crossbones sur celle du Road King même si cette choix et strictement personelle.
Sur le Road King on est un peu assis affaié tandis que sur la Crossbones on est assis remarcablement bien droit.
J’ai toujours aimé la vue d’une fourche Springer mais en même temps je le trouvais trés dommage que par le design et la structure plus faible de celle ci ce n’était pas possible d’utiliser les nouvelles freins plus performent utilisé par HD depuis 2003. Le fourche assez fragile ne sait pas prendre les forces de freinages plus extremes et le fait que la Crossbones utilisent les vieux freins était mon angoisse la plus grande pour le routes sinueuse qui me conduiraient a Barcelone...

Champagne !

Ce mardi a midi j’ai rendez-vous avec les autres participants du trip aux dealer HD Capital of Europe a Dilbeek.
La plus part des autres participant se sont des hollandais et ils ont déjà fait 200 km avant de vraiment pouvoir partir et vue le fait qu’on doit encore faire 470 km, on doit pas trainer....

La premiere partie c’est l’autoroute jusqu’a Charleroi et la révélation du Crossbones commence tout de suite. Je me retrouve tout a fait relax et même si cette premiere journée on a quand-même un peu de pluie, je suis beaucoup moins dans le vent que j’avais expecté... en tout cas moins que sur un Rocker C même si ça a tout a faire avec la position de conduite... comme pour les jambes dans la pluie, il deviennent mouillé toute de suite...
Point de vue puissance le Crossbones est tout a fait semblent avec le FatBoy comme ils utilisent le même moteur, le Twin Cam 96 B de 1.584 cc.
HD nous dit pas le nombre de chevaux mais sur des moto’s comme celle ci ce n’est pas vraiment important. Avec un couple de 120 Nm a 3.300 opm t’as toujours assez de puissance pour faire peur a l’asphalt. Même chose pour le vitesse de pointe.. J’en ai aucune idée car a partir de 140 km/u je commencais a me sentir un drapeau Belge ce qui est a ces jours ci pas vraiment stabile...

Mais on avance bien pendant la premiere partie jusqu’a la frontiere de la France. Par Couvin et Rocroi on attacque nos voisin du Sud et sans s’arreter on continue jusqu’a Rethel, un petit ville avec un Bibliotheque magnifique.. mais on n’a pas le temps de lire des livres et on se perd toute de suite dans le Champagne... c’est a dire le partie de la France qui porte ce nom.
Un des premieres villages qu’on passe aprés Rethel est ‘Pauvres’ ce qui n’est pas trés adapté a nous, roulant sur des machines a 20.000 euro (19.595 pour le Crossbones).. heureusement les routes sont bien adaptés...
De l’asphalte parfait et même les virages rapide sont bien aimé par le crossbones...Seulement les planche pieds sont beaucoup trop bas comme chaque virage ils frottent par terre même si ça gêne pas vraiment comme ils plient trés trés souple ce qui n’est pas le cas par example sur le FatBoy... ou il y a un resistance assez fort qui perturbe l’equilibre de la moto. .

Même si on avance bien, mon GPS (sur le Crossbones, un anachronisme !!..) me donne déjà un temps d’arrivée estimée a 21.00 h et certaines de nous ne sont pas content qu’avec un moteur grondant.. Ils ont aussi l’estomac qui gargouille... Ils ont faims et a l’hotel c’est la grand bouffe qui nous attends...

On rafalent les route qui nous mênent par Bar sur Seine, Chaource et Tonerre et ils sont fabuleux... a conseiller a tous qui cherchent un tour pour le weekend...

Finallement on arrive a Noyer , une petite ville medieval a 22 heures. Il sera déjà aprés minuit avant qu’on a terminé a manger mais je peut pas me manquer quelques photo’s nocturne du crossbones dans la ville dormant... Le top du retro quoi... et je dois avouer... Il commence vraiment a me plaire ce moto.
Moi, j’ai été toujours un grand fan du FatBoy comme c’ést vraiment le Harley pur sang mais maintenant avec la naissance du Crossbones je douterais... La fourche Springer est tellement jolie et exactement comme dans le temps que t’a tendance a lui donner un bisous de bonne nuit avant d’aller dormir...

Foutu

Ca commence mal le lendemain comme j’ai pas entendu mon reveille...

Pour gagner du temps je decide de pas déjeuner ce que nous rapporte pas grands chose comme tout le monde est en retard. Finallement on part avec un retard de deux heures ce qui est, vue qu’on a 520 km a faire, pas un bon début..

Et ça devient encore pire comme aprés un petit detour pour aller prendre de l’essence on perds qqunes de nos collegues ce qui fait que a midi on a que fait 80 bornes... 80 km trés jolies mais quand mêmes trop peu...

On commence a comprendre qu’on arrivera jamais a temps a notre prochaine hotel, encore 450 plus dan le Sud et on decide de prendre l’autoroute.

Moi, je rale a mourir comme la partie du roadbook dans la massif Centrale de la Franche est la partie le plus jolie de notre chemin a Barcelone...Quelques unes du group sont encore prêt a faire la route prévu mais la plus part des gens sont encore fatigué de hier et ils veulent aller a l’hotel prochaine a Vézac le plus vite que possible...J’ai envie de croiser les armes aux lieu que les os mais bon, il me reste rien que de baisser le drapeau et de capituler...

Mais je ne suis pas le seule de raler. Anna marie de Harley-Davidson qui nous suit en voiture avec les bagages nous a quitté déjà trés tot pour pouvoir joindre l’hotel le plus vite que possible... et ceci dit, elle était trés tôt a Vézac saufe que c’était pas la bonne Vézac mais celle en Dordogne... Ce qui fait que nous on aura pas nos bagage avant minuit...

Des trous et des bosses

Notre deuxieme endroit pour dormir, le chateau de Salles, est vraiment géniale et c’est dommage qu’on y est tellement court. Ma chambre est superbe et les abeilles le trouvent aussi...Apparamment il ya un nid quelques part au dessus de ma chambre et je dois faire attention de ne pas marcher sur les bêtes le matin... es ce que on disait pas que les abailles sont entrain de mourir partout ?... Pas en Vézac en tout cas...

Enfin, le troisieme jour commence bien comme on part que un demi heure trop tard comme un de mes collegues a perdu le clé de sa machine qqpart sur le domaine du chateau...

Le traject du troisieme jour n’est pas tout a fait celle que j’ai fait il ya cinq ans. Comme il a déjà moins de kilometres (386), je me suis permis un petit détour par un route hyper sinueuse et qui m’a l’aire trés attirante sur la carte... mais pour compenser l’extra de kilometers j’ai aussi prit un raccourci qui conduit par un lac de retenue qui de nouveau a l’aire trés jolie sur la carte...

Les googlemaps sont quand même géniale et je trouve que c’est bien excitant...

Et c’est parti... On passe par Sansac (Pardon ?), bagnac, Viazac (ahum) Buzac, Quézac, Foissac, Figeac et Loupiac pour atteindre Villefranche de Rouergue ou la temperature vient d’atteindre 37 degrees... je suis content d’être sur le crossbones comme mes collegues sur le Road King et l’Ultra transpirent comme des fous..
En même temps on a atteint le raccourci ce qui fait que les routes deviennent de plus en plus petites et etroite juqu’au moment que même les tracteurs savent a peine passer... On avance qu’ a pas et même le lac de retenu ne sait pas nous rafraichir... On ne s’arretent même pas.. On veulent avancer.. sentir le vent...
Moi je peut encore apprecier comme c’est la découverte mais pour les autres c’est plutôt la découverte combien d’humidité on peut vaporiser avant de tomber de sa moto...

Il n’y a pas de fin a la raccourci et si je peut croire a mon GPS qui me donne toujours le temps d’arrivée estimé, on bouge pas...

Jessica, norte seule pilote feminine et responsable press de Harley-Davidson le résume d’une façon trés bref..

‘Erik, j’en ai marre...’

‘Pas de soucis, Jessica, encore un peu et on aura des centaines de beaux virages et un route rouge sur la carte....’ et je lui recomfort avec mon detour géniale.... en decouvrant que les puits en les bosses ne sont pas sur la carte. Le detour est horrible..
Pendant 80 km on est sécoué d’une façon que je crains que la fourche Springer ne vas plus tenir... mais rien ne lui semble perturber et le comfort sur le Crossbones me continue a donner du confiance... et même si j’ai soif, je suis ravi...

Pendant la plus part du group, aprés cette route d’enfer, continue directement vers l’hotel a Quillan, je fais encore un détour pour faire des photo’s du Crossbones devant le cité medieval de carcassonne... Je commence a me sentir tout a fait retro....

Le coup du marteau

Cette quatrieme jour va devenir géniale.. je le sens...

Tout d’abord on a que a faire 286 km et je sais que le traversée des pyrenees par le Collade de Toses est vraiment gradiose... Même chose pour les Gorges de Saint Georges tout prés de Quillan...En plus, cette fois ci on est tous prêt a temps pour partir... Jusqu’au moment que la serrure du guidon du FatBoy se revelent blocqué...

On est déjà entrein de se préparer a forcer le blocage du guidon avec la force brut quand un petit coup de marteau fait bouger la serrure.. enfin..

Resultat, on part une heure trop tard et le temps d’arrivée retardée me sourit déjà sur mon GPS...

Je me demande si Murphy est aussi en route en moto pour le Barcelone...

Mais mêmes avec tout les Murphyes qui nous suivent la derniere jour se relevent fantastique... Je m’enfou du temps d’arrivée plus tard comem pour beaucoup d’entre nous les Gorges de Saint Gorges et surtout le Collade de Toses avec sont hauteur de 1.800 metres est un summum de leur carriere moto... Il faut compter 40 km et je ne sais pas combien de virages et ça continue dans l’infini. Pendant que moi je fait des photo’s, il y a de des autres qui font le col 5 fois... Je peut les comprendre comme c’est tellement géniale et le Crossbones perds 1 kilo d’acier au planche pour les pieds...

Je suis étonné que les freins du Crossbones me surprend aucune fois même si j’abais peur de ça.. mais j’utilise surtout le frein le pedal du frein arriere qui est tellement bien que t’as prescque plus besoin de l’avant. En plus comme ça l’avant ne plonge pas et la moto reste bien stable en permettant de rouler des lignes pures et controlées...

Barcelona Days 2008

Sur notre passage des Pyrenée je me suis déjà aperçu qu’on n’est plus le seule groupe de rouleurs en Harley-Davidson. Des procession entierement avec drapeaux et tout se dirigent vers Barcelone et en comparaison avec eu on est qu’un petit groupe insignificant...

Même si j’apperçu que l’accablement de y a 5 ans ne vas pas se reproduire..En plus l’endroit de l’évenement est beaucoup moins grand. Pour les fêtes du centenaire HD avait pris toute la village Olympic tandis que maintenant ils se sont contenté avec la ‘Gran Via’ qui va de la ‘Plaza Espana’ jusqu’au musée de l’art de Catalunya... un route ou il y a cinq ans le parade a été completement blocqué et des moteurs qui se sont explosée a cause du chaleur.

La premier soirée je baille pendant une heure devant le show de la fontaine Magique de Montjuic qui se trouve juste au dessus du site. Cette piece d’art d’eau semble de danser sur les tons de Mozart et Bach même que pour Harley ils aurait pu choisir du musique mieux adapté... ‘Bad to the bone’ serais un bon choix...

Le prochaine jour on peut faire la grasse matinée et on a rien d’autre a faire a trainer sur le terrain de l’evenement.. qui est rempli de stands avec tout ce qui a qqchose a faire a vaec la grande marque Ameriqaine..

Au milieu il y a un grand espace prévu pour les participant du Custom Show et un peu plus loin on a construit un village Harley-Davidson avec un podium gigantesque.

La tente le plus impressionate est sans doute celle au milieu du village ou on a mit un vingtaine de modèles HD bien ancré au sol pour les gens d’essayer. Moi je l’appele la tente des rêves cassés...(broken dreams).

Pendant le weekend je viens souvent ici pour regarder les gens comme c’est parfois attendrisant de voir toute sorte de gens monter un instant avec des yeux brillant sur un moto pour être l’héro de quelques seconde... Les yeux lointain sur un route imaginaire, les mains prudemmant sur le guidon pendant que le salive coule prescqu’au sol.. et la femme qui prend une photo bien sur...

‘We’re all born to be wild... at least for a few seconds...’

Dans le coin de cette tente fascinante, les visiteurs peuvent se faire photographié sur un Rocker C pendant que digitallement un autre arriere plan est ajouté pour faire semblant qu’ils roule en réelle... Je suis là, entrein de regarder bouche bée comme a chaque moment les gens font la file pour avoir une photo comme ça... Ce qu’ils aimeraient a faire partie du legende...

Et cette desir de vouloir faire partie du groupe et trés claire pendant la parade le dimanche matin. 8.000 moto’s piaffent d’impatience pour commencer la calvarie de 12 km dans le centre de Barcelone...

Laid, intelligents, gros, mince, peu importe.. au moment du parade ils sont tous accépté et admirés... A coté de moi un couple dans les cinquantaine sur un Heritage Classic.. L’homme un peu bonne poire et la femme tellement gros qu’on pourrait le rouler mais qu’es ce qu’ils se sent bien aujourd’hui !! Même l’hollandais Mink, un fou du volant pur sang qui adorent la vitesse se trouve sur le Crossbones et salue le public nombreux et enthousiaste...

Il y en a qui se sentent le héro, le rebel, retournant de la guerre, les autres sont juste content de faire parti de cette famille enorme et savoure l’interet qu’ils recoivent...Le parade est une ensemble de testosteron, vanité féminine, solidarité et fierté de leur moto car ceux qui roule en Harley-Davidson, a d’un coup reçu un grand extra d’image et de personalité... et finallement c’est beau a voir... même si moi je trouve que le vrai rebel roule toute seule... comme moi.. il y a cinq ans... Il y a qu’une chose qui me manque.... Un Harley-Davidson Crossbones...

Merde.. juste au moment que je me croyais un vrai homme....

Texte en photo’s : Erik Tanghe